Oui quand tu ne joues que sur la sérotonine... Avec la neuradrénaline, plus la sérotonine, c'est autre chose... Je commençais à sérieusement m'ennuyer... J'aime bien me concentrer sur mon platre et mes trous à boucher, mais il me manquait quelque chose... J'ai donc lacher le cymbalta... Du jour au lendemain et sans aucun trouble de manque entre parenthèse... J'ai retrouvé mes petits questionnement... et j'adore... Tu sais on est pas obligé de toujours se poser des questions sur soi et ses tristesses.... Il y a plein de question beaucoup plus passionnante que son nombril. Le mien d'ailleurs est parfait... LOL

Quand je me pose des questions elle concerne la vie et son pourquoi, mais sur ma petite personne. Je laisse cela à mon fis de 20 ans. 🙂

J'ai voulu écrire pas sur ma petite personne !

Moi, j'ai abandonné ce genre de question, on ne trouve aucune solution, il n'y a qu'hypothèse et/ou croyance....

j'aime mieux regarder et comprendre la nature et l'univers et m'amuser quand je constate que les progrès de l’éthologie diminue de plus en plus la distance entre l'homme et l'animal, dont les oiseaux....

Les querelles avec mon prof de philo n'ont plus lieu d'être.... Je ne faisais pas de l’anthropomorphisme .... 😛

Non ce que je voulais dire à gene, c'est que sa Ritaline n'agit que sur la serotonine.... et là on garde à peu près l'esprit clair.... Moi, le médoc que j'ai pris agissait sur la sérotonine et la neuradrénaline...

Le déficit d'attention était combattu, mais trop... Au bout d'un moment trois mois, mon cerveau commençait à être un peu trop sur son sujet... et c'est comme les gens qui voient en couleur, retiré leur cette capacité par médoc, et cela devient vraiment très chiant... Alors j'ai arrêté comme je l'ai dit plus haut... J'ai retrouvé ma liberté de vagabonder... Par contre l'effet bénéfique se poursuit... Je ne dépêtre plus dans des pbs sans fond..

En fait le médoc m'a surtout permis de résoudre un problème... J'en connaissais les termes, mais je n'arrivais pas à trouver la solution... En fait le médoc m'a donné la force de ne pas rester comme l'âne de Buridan entre le seau d'eau et de son... J'ai pris ma décision... et en fait tout s'est passé le mieux du monde..et bien au contraire cela a aidé tout le monde....

DOnc pour en revenir au sujet initial du psy... Il peut être utile pour mettre à jour les termes d'un problème, mais pour la décision, je crois que c'est nos propres neurones qui la prendront et là une petite chimique n'est pas à négliger...

Je ne parle pas non plus d'analyse de soi uniquement.

Je te donne un exemple, tu as un petit problème au travail ou perso. Ton intellect te dis que ce n'est pas grave. Tu sais que tu va trouver une solution, ou quel se dénouera seule à une moment ou un autre. Tu fais donc le choix de faire l'impasse.

Hélas, ton cerveau et/ou ton inconcsient a décidé qu'il voulait une réponse. De façon plus ou moins récurente tu cherches une solution, tu rumines et tu ressasses presque s'en t'en rendre compte.

Tu va accumuler les tensions physiques et nerveuses sans t'en rendre compte, tant que tu n'a pas de solution.

Après tu vas chez le psy, tu pleures, tu discutse avec tes proches pour chercher d'où vient ton mal.

Chaque fois que tu te retrouves face au même type de problème, tout ce redéclenche de façon amplifié, et tu comprends encore moins ce qui se passe.

La médication peut suprimer ce problème et t'aider à reprogrammer ton cerveau pour qu'enfin "il te lache la grappe".

GENE

je crois que je comprends mieux. Quand je me trouve face à une femme dominatrice, manipulatrice, je ne sais pas gérer et je suis en position enfant. Je le sais. Alors, j'évite ce genre d'individus et pourtant, j'aimerai tant la prochaine fois, car je sais qu'il y aura une prochaine fois. J’aimerai tant nep as fonctionner avec mes émotions mais bien avec mon" adulte". Et tu crois que pour cela je dois passer par un médoc ?? 😕

Le médoc (ritaline ou autre qui agisse sur la production de sérotonine) t'aidera à appliquer les décisions comportemental que tu auras prise.

Plutôt que de rester indécise a te poser milles questions sur les différentes attitudes à adopter tu feras ce que tu as décidé spontanément.

L'attitude gestuel hésitante disparait, les idées sont plus claires, les décisions sont prises, toutes ces modifications imperceptibles à l'interlocuteur intellectuellement, son tout de même perçu. En retour l'attitude de l'interlocuteur change et tout est plus facile et s'enchaîne positivement.

Les personnes autoritaires ou manipulatrices sont des sortes de détecteur de faille. Ils perçoivent les hésitations, le trouble ou l'émoi et profite de ces failles (inconsciemment). Les enfants font la même chose, si tu te sens bien, les enfants sont sages, joueent et interagissent positivement. Si tu est fatigué ou soucieuse, ils deviennent pénible et font un tas de bétise qu'ils ne font pas en temps normal.

GENE

Tu as raison, Gene, et c'est pour cela que je suis pour la médication chimique à certain moment de sa vie.... et je ne regrette pas d'avoir pris le mien.... Il m'a aidé à prendre la bonne décision, ce que n'aurait jamais pu faire un psy.... Je déteste qu'on me dicte ma conduite....

Attention ce n'est pas une baguette magique.. Il ne résoudra jamais le problème en question, il permet juste de prendre du recul et sans doute après avoir mieux analyser, et d'agir....

Et en plus, le résultat dure...

Je sais aujourd'hui qu'il existe un truc qui peut vraiment m'aider...Il Faudra sans doute en reprendre à un moment donné mais désormais je n'ai plus peur il y a moyen de sortir de ses éternels ressassements... qui sont nuls.....

S'il y a besoin, je sais que je peux avoir de l'aide... Mais pour l'instant c'est complètement inutile donc arrêt... Je dors bien, je continue ce que j'ai commencé....Le seul inconvénient c'est que j'ai le sentiment que cela agissait sur mes douleurs articulaires... Là, je les ai retrouvé... Mais bon, là rien de psycho, radio en main c'est purement matériel....

T'inquiètes pas Claudia on a tous connu ce genre de situation et j'ai même l'impression qu'il n'y a pas besoin d'être dys pour le connaitre... Moi j'ai longtemps réagit par la colère.... Aujourd'hui, j'ai appris à plaindre la personne en face... Elle est si fragile qu'elle n'arrive pas à avoir un comportement adulte égalitaire, il faut qu'elle fragilise la personne en face d'elle pour se rassurer....

Quand tu te retrouves face à ce genre de personne, prend ce recul et tu verras que je n'ai pas tort....

et le docteur, si je lui demande, il va réagir comment ? il ne sait pas que je suis dys. 😕 il n'y a pas d'accoutumance?

La prescription de la ritaline est extrêmement contrôlé, tout les psychiatre n'en distribue pas comme ça. Je suis suivi suite à une démarche perso pour savoir si j'étais dys et /ou TDAH. J'ai donc pris RDV avec un neuro qui fait des recherche sur le TDAH adulte. La ritaline n'agit pas sur tout le monde de la même façon et actuellement ont ne sais même pas exactement comment il agit. Il active la production de sérotonine et stimule l'activité du lobe frontal (celui qui gère les émotions et les rapports aux autres). Il n'y a pas d'accoutumence, mais le but est d'en prendre tout en apprenant à gérer autrement ses difficultées.

Il y a d'autre médoc qui ont des effets similaires, ils agissent sur la production de sérotonine. Un psy pourrait t'en prescrire durant les périodes ou tu es plus en souffrance.

Je connais peut de psy prêt à médiquer pour un trouble qui n'empêche pas de vivre au quotidien. Sinon il faut entrer dans une démarche de diagnostique et trouver un neuro pour suivre le dossier.

GENE

Pour la ritaline fait confiance à Gene.

Moi j'avais surtout des pbs.. Tout allait bien corporellement s'entend, mais je coinçais au niveau du cerneau de noix... Je n'arrivais pas à sortir de ma fatigue... BOn pas besoin d'être grand clerc pour savoir ce qui conçait... Le visible aux yeux des autres étaient déjà suffisamment compliqué pour que mon généraliste me colle son cymbalta qui agit sur sur la sérotonine et la neuradrénaline qui n'agit que sur la sérotonine. pour l'invisible, cela ne regardait que moi....

En fait je n'ai pas attendu les trois ou quatre semaines pour avoir des resultats dans les trois jours, l'énergie est venue....et la décision a été prise.... La fatigue d'aujourd'hui est totalement normal liée à un peu d'exagération de ma part....

On a discuté au début de mon traitement avec Gene et AnneNahauneem....ils ont été surpris de la rapidité des effets, moi aussi d'ailleurs...

https://www.apedys.org/viewtopic.php?topic=5371&forum=40&start=40

Sur ce Gene nous avait donné un site fort intéressant qui m'a permis d'essayer de comprendre... ce qui se passait dans mon petit cerveau

http://tdah-adulte.org/

C'est au signet médicament...voir SSRI et SNRI. En le recherchant pour te les donner, je me rends compte que, depuis ma dernière lecture, ils ce sont d'ailleurs enrichi au niveau analyse des médocs, et c'est très bien...

J'ai arrêté brusquement le medoc, du jour ou lendemain, au bout de trois mois et demi pour savoir si j'allais avoir les syndromes de manque... Expérience, un peu poussé par une conclusion de AnneNhauneem dans un message privé... J'avais quand même entouré cette cessation de précaution... J'ai gardé du cymbalta au cas où et du seroplex sous la main au cas où... Ben il n'y a pas eu de cas où... Impec ! et l'énergie dure et je dors bien...

Bon, mais ce ne sont que des expériences sur ma petite personne. Il n'est pas certain que tout le monde réagisse comme moi... J'ai un autre exemple où c'est le seroplex qui se rapproche de la ritaline qui a eu le meilleur effet... Après quatre ans d'errance dans les médocs par psy et généraliste et certains dangereux, j'ai suggéré à mon toubib un médoc qui agisse sur la sérotonine.... Il a cherché et lui a donné du Seroplex... Et même le sommeil semble se réguler sans hypnotique. Cela a été plus long.... J'ai eu peur du retour des insomnies qui avait provoqué chez lui une crise d'epilepsie... Mais, cela revient tout doucement... Pour l'arrêt on attendra encore quelques mois, le temps que l'on remette en marche les trucs qui recapture la sérotonine... On ira sans doute plus doucement...

Bon, donc je tire la conclusion de mon expérience que l'accoutumance n'est pas inéluctable.....

Il y a une chose quand même Claudia que je ne pige pas.... Pourquoi n'as tu pas dit à ton psy que tu étais dys... Le jour où je me suis décidée à le dire à ma psy... Cela a démontré que j'avais accepté cette caractéristique de ma petite personne et que j'avais entièrement confiance en elle.... LOL 😛

Bonjour,

Pourquoi, je ne le dis pas ? Parce que les peu de fois où je l'ai dis, soit je n'ai pas été prise au sérieux, soit on me considère autrement. Personne ayant une tare! Seule mon amie est aucourant et réagit tout à fait normalement. Pourquoi? parce qu’elle a un handicape et donc nous sommes sur la même planète. 🙂

Merci pour les explications, je vais y réfléchir. Bisous

Bonjour Claudia,

et moi je me demande comment cela se fait que votre 'psy' ne s'est pas encore rendu compte que vous êtes dys??? Ou alors il ne dit rien??? Ou alors il ne connaît pas bien les 'dys'?? Amicalement curidys :#

Curidys,

je ne consulte plus depuis mon déménagement. Je parlais de mon généraliste, j'aurai du le préciser. Jamais les psy que nous avons vu avec mes fils n'ont su ou alors, ils n'en on pas parlé. Même les pédopsy. 😕

sauf bien entendu le centre référent