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Faurum
Bonjour,
Voila, avec mon mari c par fois compliq. Je lui reproche de ne pas s'occuper de la scolarite de notre fille dyslexique. Il ne s'occupe pas du tout des devoirs et quand je rentre à 19h30, je voudrais qu'il ne reste que ce qu'il n'ont pas pu faire ensemble. Il est dysorthographiq mais cela devrait pas l'empecher de l'aider par exemple avec les tables de multiplication. A moins qu'il ne le fasse pas parce qu'il ne s'en sent pas capable mais il me dit que non. J'ai l'impression qu'il s'en fou.
D'un autre coté quand on travaille tous ensemble (j'ai fait une boite à multiplication avec ma fille on tire une multiplication et on la pose à un membre de la famille). C'est dure pour elle et lui il lui dit qu'elle fait pas assez d'effort ou qu'elle le fait expres. J'ai voulu lui expliq qu'il vallait la valoriser meme pour de petit effort. Je pense qu'il s'est senti rabaissé et il m'a dit qu'il n'y en a que pour elle et que parfois elle fait expres de se plaindre pour qu'on se discute.
Je voudrais qu'il me soutienne dans mes efforts et demarches pour aider notre fille et j'ai l'impression de devoir m'occuper aussi de lui.
Je ne sais pas sivous avez des conseils ou experiences à partager,c'est surement normal que lesdifficultes de nos petits créer parfois des problémes dans le couple.
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Mon mari n'aide qu'occasionnellment pour les devoirs, ce n'est pas trop son truc. Mais notre dys prend l'habitude "de faire avec" lorsqu'elle veut faire absoluement et que je ne suis pas là. Par contre, je peux compter sur lui pour que le repas soit près et bien d'autre chose.
ensuite nous avons laissé tombé l'idée de faire de la rééducation à la maison, les tables, les mots à savoir par coeur, etc .... Mais nous discutons beaucoup sur tout les sujets, scolaire ou pas. Cela permet à nos enfants dys ou pas de faire le lien avec les cours et d'emmagasiner de la culture générale.
De cette façon, nos enfants n'hésitent pas à nous parler de ce qu'ils font en classe et souvent les discussions leurs permettent de revoir leur cours de façon différente. Le niveau de stress pour les devoirs a largement baissé.
Notre aide se limite souvent à celui de secrétaire et lecteur. Le seul ennui, c'est que quand notre dys est décidé et que je suis dispo tout ce passe bien. Si ce n'est pas le cas, ça devient vite la galère, il nous arrive alors de bacler un peu le travail et je m'arrange pour que le sujet soit réaborder dans une discussion ultérieur.
Je dirais que tout ce qui est fait dans la douleur, augmente le temps nécessaire et diminue l'efficacité de l'exercice.
GENE