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Faurum
Bonjour a tous.
Cela vas faire longtemps que je ne suis plus passée sur le forum....en effet, je suis maman depuis 2 ans, j'ai donc été fort occupée.
Je fait actuellement des démarches afin d'inscrire mon fils dans une école et je me rend compte que sa future entrée me stresse horriblement !
Lors des entretiens avec les professeurs (visite d'établissement), je me retrouve la boule au ventre a devoir me résonner pour ne pas tourner les talons.
Je réalise que mon stresse de mes années "scolaire" est tj présent. Je craint de le transmettre a mon fils....Je craint aussi de le voir "écrasé" par l'école comme je l'ai été.
Il est encore trop petit pour qu'on puisse savoir si il est dys ou non.
Je m'inquiète aussi de la façon dont j'arriverai a l'accompagner ds ses études, l'idée de lui faire faire des dictées par exemple me perturbe :-/ J'ai eu la chance d'être soutenue et aidée par mes parrents, mais que ^pouraius-je lui apporter comme aide? Son papa n'est pas francophone, de se côté, il ne saura pas aidé non plus.
J'ai la chance d'avoir un ptit très vif, éveillé, curieux, joyeux, intrépide etc...Je ne le vois vraiment pas entrer ds le "moule" de l'école 🙁
Il me semble qu'il y avait sur le forum un certain nombre de parrent dys, j'aurais été curieuse de leur expérience.
Bonjour K2,
Heureuse de te relire sur le forum.
Perso, je ne voulais pas mettre mes enfants à l'école, mais je manquait de confiance en moi pour faire la scolarité à domicile et un jour ma fille m'a demander pour aller à l'école.
En moins d'un an les difficultés sont apparues et l'ortho n'a pas tardé à faire parti du planning de la semaine.
Sans paniquer, il faut rester vigilante et être attentive à tout ce qui se produit à l'école et réagir de façon constructive en dialoguant avec l'enseignant et en n'hésitant pas à voir une ortho si l'enfant ou l'enseignant estime qu'il y a difficultés.
Pour ce qui est de gérer le mentale des parent qui ont souffert à l'école, il faut affronter chaque problème l'un après l'autre en ayant toujours en tête que notre émotionnel aura toujours un impact plus ou moins fort sur notre enfant, ou notre façon de gérer la scolarité.
GENE