Oui, cela m'est arrivée, l'an dernier mon fils devait être testé par la psy du collège. J'ai refusé catégoriquement ce qui n'a pas plus du tout aux enseignants, mais c'est votre droit. Par contre j'ai insisté sur le fait que j'allais le faire tester chez un psy clinicien en libéral et je leur ai mis le test sous les yeux ensuite (bien que l'on ne soit pas obligé de le faire, les tests psychologiques étant confidentiels et restant la propriété des parents). Comme le résultat a été positif qi>142, maintenant j'ai plutôt tendance à le brandir 😉 ... on m'a tellement cassé les pieds pour le faire ... : Maintenant si c'est pas les enseignants qui le demandent mais la MDPH c'est pareil tu le fait chez qui tu veux.

Message édité par : Maltiha / 30-11-2013 18:46

Message édité par : Maltiha / 30-11-2013 18:47

Message édité par : Maltiha / 30-11-2013 18:47

Merci de votre réponse.

Je rencontre la psy sco mercredi.

Il n'y a pas lieu de re-tester un enfant qui l'a été deux fois,pour ma part.

La 1ère psy sco avait établi un bilan(fait en ce1) très négatif,affichant mon enfant dans la zone de déficience mentale.(ce qui lui avait valu l'acceptation d'une avs)

Lorsque je l'ai fait re-tester deux ans plus tard(pour le montrer au crtla)il affichait un bilan toujours hétérogène,mais dans la zone basse de la normalité.(l'école n'a pas ce test).

par contre,le médecin scolaire,possède le CR du neuropédiatre du CRTLA,qui exclu toutes pathologies,et qui présente l'enfant avec une efficience normale.

Au devant de sa réussite scolaire(il est en 6ème),il n'y a pas lieu par conséquent de faire un dossier MDPH.(l'avs,il peut largement s'en passer)

Voilà ce que je vais tenter d'expliquer.

Voilà pourquoi il vaut mieux passer par un pedo psy ou psy clinicien, un psy sco peut être performant mais il peut également être très fortement influencé par les enseignants de l'école qui ont leur propre vision de votre enfant, cela s'appelle "l'effet pygmalion". Il vaut mieux en avis neutre tout en faisant part des difficultés que vous avez remarqué.

Pour info, mon fils a été testé 3 fois et par 3 fois on a trouvé le même résultat. (Je n'ai jamais accepté qu'il soit vu par le psy sco, connaissant parfaitement les rouages du système scolaire !

Maintenant mon fils ainé n'a jamais été "dys" ce qui explique que l'on retrouve le même chiffre a 10 points près. Quand il y a un "dys" qui est rééduqué, il est normal que le qi augmente, et c'est super si c'est le cas, il va encore beaucoup progresser ...

Message édité par : Maltiha / 30-11-2013 20:40

Message édité par : Maltiha / 30-11-2013 20:41

Message édité par : Maltiha / 30-11-2013 20:43

en rassemblant tous les bulletins scolaires,je constate toujours les mêmes phrases qui reviennent sans cesse par les instits.

Cependant tout à déjà été vérifié.

Pas de dys,pas de tda.

Vous savez,maintenant,on demande l'avis à l'avs,si l'enfant a besoin de son soutient.

Evidemment,elle ne va pas dire non!!

Et tout part de là,il faut continuer avec l'avs.Sauf que là,ils vous font faire un "vrai" dossier mdph avec bilan médical et projet de vie...

Où est-ce que je vais bien pouvoir trouver tout ça?

Si le neuropédiatre a écrit noir sur blanc que mon fils n'avait rien,c'est que ce doit être vrai!

Je suis curieuse,mais votre enfant n'est pas dys,et pourtant vous l'avez fait tester trois fois?pourquoi?

Je parle de mon fils ainé (mon 3e est dys ou assimilé). Mon fils ainé a été testé 3 fois. Une fois en maternelle de moi-même car je suspectais une précocité. Une deuxième fois en primaire en cm2 car son niveau avait chuté et c'était à la demande des enseignants qui me disaient que le test de maternelle WPPSI-R n'était pas toujours fiable et qu'il fallait passer un WISC-IV pour confirmer la précocité. La troisième fois c'était au collège car on m'a dit qu'un test d'il y a 3 ans n'était plus fiable, ce qui est totalement faux, étant donné que j'ai du appeler tous les psy et pédo psy de la région qui m'ont confirmé que le qi ne change pas comme ça et qu'il était totalement inutile de le faire 3 fois. Toutefois, devant l'insitance des enseignants nous l'avons fait refaire une troisième fois 😉

Message édité par : Maltiha / 30-11-2013 21:19

Sandy, il faut vous fier à des professionnels et non à des enseignants qui se fient à la moyenne de la classe. Suivant que l'on se trouve dans le nord, dans un quartier rupin ou à Villetaneuse en banlieue, la notion de difficulté ne sera pas la même. Par contre un docteur ou psy est à même de vous dire ce qu'il en pense.

oui,mon test a + de deux ans.Il est donc trop vieux pour l'erh.

Mais pourquoi changerait-il?Je ne voie vraiment pas l'intérêt de refaire?

Il ne s'est pas dégradé,puisqu'il suit avec des notes confortables en 6ème.

Il a une efficience normale basse.Elle est ainsi,c'est tout!

C'est sa rééducation visuo-spatiale qui l'a fait sortir de la zone de déficience.C'est sans doute ceci qui génait?

le neuro a déjà donné son avis,et il est de poids,puisqu'il vient du crtla.

pas de pathologies!

Oui, s'il y a rien, il y a rien 😉

reste à convaincre la psy sco... :#

Le neuro est un docteur, la psy sco une instit, chacun son boulot 😉

Message édité par : Maltiha / 30-11-2013 22:06

Message édité par : Maltiha / 30-11-2013 22:08

Bonjour,

Au niveau du collège les COP sont des psychologues avec un DESS et deux années de formation supplémentaires post concours.

Dans le primaire, ce sont des enseignants, effectivement mais ils ont souvent suivi une formation initiale en psychologie, puis concours et formation.

Vous en êtes sûre???Faut-il lui demander son CV?alors on a à faire à une "vrai" psychologue?titulaire du DEA et DESS?

Ce n'est pas ce que j'ai entendu des psy sco.Pourquoi serais-ce différent pour le collège?

Remarquez tant mieux,elle comprendra ce que je raconte...

Ce n'est pas pour ça,que je ne veux pas avoir le choix du psy.

Bonsoir,

Ben oui je suis sure. Pourquoi est-ce différent avec les psy scolaires, c'est une très bonne question à laquelle je n'ai pas de réponse.

Ensuite, vous faites ce que vous voulez, j'apportais juste un renseignement sur le fait que les cop ne sont pas d'anciens enseignants, et que ce sont des psy à part entière dont l'expertise vaut bien celle de n'importe quel libéral, et inversement.

En ce qui me concerne, c'est une cop qui a pointé la mauvaise orientation du diagnostic de mon fils malgré tous les para médicaux et pédo psy qui l'ont par ailleurs très bien entouré mais son passés à côté du principal quand même.

La différence entre un cop et un psy libéral, et la même qu'entre une école privé et une école publique, ce n'est pas le statut qui fait la compétence mais la personne.